Petit moment de flottement et d'incertitude lors de la lecture des premières pages de cette deuxième partie de dyptique. Le changement d'ambiance perturbe un peu mais le trait sensuel de Homs agit rapidement et le scénario de Giroud enchaîne les rebondissements. Les bonnes vibrations sont de retour.
L'intrigue artistique est vite mais très bien expédiée. Le micmac familial, bien moins convenu qu'attendu, prend bien le relais même si le récit perd un brin de son originalité sans la dimension historique autour de Salvador Dali (véridique semble-t-il). Mais là encore le dessin de Homs charme et nous emporte.
La fin est cohérente bien qu'un peu facile à mon goût, juste histoire de faire la fine bouche. Les deux tomes de L'Angélus constituent un diptyque qui mérite bien d'être lu.
Sylvain
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire